De quoi méditer



Un homme se présente dans un bar et demande au patron: "Si je vous montre quelque chose que vous n'avez encore jamais vu, m'offrirez-vous un verre ?"
Ok, dit le patron. L'homme sort alors un cochon d'Inde de sa poche, le place sur le comptoir et l'animal se dresse sur ses deux pattes arrières et commence à danser la polka.
Le patron réagit : "Vous avez raison, je n'ai encore jamais vu ça. C'est extraordinaire. Voila votre verre." Quelques minutes plus tard, l'homme qui souhaite un second verre propose au patron : "Pour un second miracle, vous m'offririez un autre verre ?"
Le patron, toujours aussi curieux, accepte. L'homme sort alors un crapaud de son autre poche et le pose sur le comptoir. Le crapaud se racle la gorge et commence à chanter. Il a une voix magnifique de soprano.
Voyant cela, l'un des clients du bar s'adresse à l'homme : "Je vous en donne 1000 francs de votre crapaud !"
"Ca marche", répond l'homme en déposant le crapaud dans la main du client.
Et, en aparté, le patron du bar s'adresse à l'homme en lui glissant à l'oreille :
"Vous êtes malade, un animal pareil, ça vaut des millions..."
L'homme lui répond: "Pas vraiment, c'est le cochon d'Inde qui est ventriloque."



Un automobiliste a crevé sur une route passant près d'un asile de fous. Il met les 4 boulons dans l'enjoliveur mais, au moment de les remettre sur la roue de secours, une voiture le frôle, touche l'enjoliveur et fait valser les boulons dans la nature. Il ne sait pas quoi faire.
Un fou, qui passait par là, s'arrête, et lui dit qu'il a une solution. Laquelle, demande l'automobiliste. Le fou lui dit de prendre un boulon sur chacune des trois autres roues et de les mettre sur la roue de secours. Mais c'est génial, s'écrie l'automobiliste. Vous n'êtes pas fou ? Le fou lui répond : Je suis fou, oui, mais pas con !



Alors c'est exp(x) qui se promène tranquillement dans la rue quand soudain, une constante surgit et lui crie Au secours, au secours, il y a un opérateur différentiel qui me poursuit, et je ne suis qu'une pauvre constante, s'il me croise il va me réduire à néant ! Pas de chance pour toi, réplique exp(x), mais moi je suis exp(x), il ne pourra rien me faire ! Tandis que la constante se réfugie sous une plaque d'égoût, exp(x) poursuit tranquillement son chemin, quand tout à coup elle aperçoit l'opérateur différentiel ! Salut, lui dit-elle, moi c'est exp(x), comment ça va ? Enchanté, répond l'opérateur. Moi c'est d/dy...



Des gigantesques intempéries menacent d'inonder un petit village. Tous les habitants commencent à évacuer les lieux, sauf le prêtre qui reste cloîtré dans l'église. Le maire va le prévenir que la dernière navette va bientôt partir.
Non, je reste, dit le prêtre. Dieu va me venir en aide.
La navette part, et un peu plus tard, l'eau déferle dans les rues, le prêtre se réfugie dans la chapelle. Il entend une sirène, ce sont les pompiers qui ont été dépêchés en urgence.
Vite, fait le capitaine, l'eau monte !
Inutile, répond le prêtre. Dieu me sortira de là.
Une demi-heure plus tard, le village est presque totalement englouti. Sur le toit de l'église, le prêtre continue à implorer Dieu pour un miracle lorsqu'un hélicoptère arrive.
Montez, c'est votre dernière chance ! crie le pilote.
Laissez-moi tranquille, supplie le prêtre. Dieu me sauvera...
L'hélicoptère s'en va. Un peu plus tard, l'oeil du cyclone arrive sur l'église, le prêtre meurt dans la tempête.
Alors qu'il arrive au ciel, le prêtre offusqué dit à Dieu : "Ben alors que s'est il passé?... je Vous ai demandé de l'aide et Vous n'avez rien fait..."
Et Dieu répond: "Attends, tu rigoles ! Je t'ai envoyé ton maire, les pompiers et l'armée, et tu dis que j'ai rien fait ?"



Le petit Bob vient souvent traîner dans l'épicerie de ce petit village. Le gérant ne sait pas exactement ce qui ne va pas avec lui, mais les garçons du coin aiment bien l'embêter. lls disent que ce n'est pas une lumière et n'hésitent pas à s'en amuser. Pour le démontrer aux gens de passage, ils viennent vers Bob et lui proposent de choisir entre une pièce de cinquante centimes et une pièce d'un euro. Systématiquement, le petit Bob s'empare de la pièce de cinquante centimes, au plus grand amusement des spectateurs. Il choisit les cinquantes centimes parce que la pièce est plus grande, expliquent les garçons aux visiteurs. Un jour, le gérant de l'épicerie emmène le petit Bob à l'écart, et lui demande :
– Bob, tu sais que ces garçons se moquent de toi. Ils croient que tu ne sais pas qu'un euro vaut plus que cinquante centimes. Alors pourquoi prends-tu toujours les cinquante centimes ? Parce que la pièce est plus grande ?
– C'est simple. Si je prenais la pièce d'un euro, ils arrêteraient.



Alors c'est un type complètement ivre qui sort de la brasserie et monte dans le bus. Il traverse l'allée centrale avec son journal et finit par s'asseoir à côté d'un rabbin. Le visage couperosé, l'haleine alcoolisée, une bouteille de vin aux trois quarts vide dépassant de sa poche, il commence à lire le journal. Quelques minutes après, il se tourne vers le rabbin, l'air grave.
– Monsieur le Rabbin, pouvez-vous me dire ce qui cause l'arthrite ?
– Certainement, répond le rabbin après quelques secondes, l'arthrite est causée par une vie de débauche, des contacts trop fréquents avec des personnes aux moeurs légères, l'abus d'alcool, et un mépris général pour l'humanité.
– Au moins, j'aurai été prévenu, murmure l'ivrogne.
Quelques minutes plus tard, le rabbin arrive à sa station. Avant de s'en aller, il dit à son voisin, un peu gêné :
– Ecoutez, je suis vraiment désolé. J'ai été un peu direct, je ne voulais pas vous causer de peine. Depuis combien de temps avez-vous de l'arthrite ?
– Je n'ai pas d'arthrite, monsieur le Rabbin. Je viens de lire dans le journal que le grand Rabbin de Jérusalem en a.



Sur un navire en haute mer, le matelot-chef décide de célébrer l'anniversaire de sa fiancée, restée à quai, avec une bouteille de rhum. Évidemment il abuse un peu et finit ivre, le lendemain sa démarche est encore titubante. Un peu plus tard, alors qu'il a retrouvé la sobriété, le capitaine l'appelle et lui montre d'un air grave ce qu'il a inscrit la veille dans le journal de bord : "Aujourd'hui, le matelot-chef était ivre." "Capitaine s'il vous plaît ne laissez pas cela dans le journal de bord" supplie le matelot-chef. "Ca nuira éternellement à ma carriere et je voudrais tellement être capitaine un jour..." "Ce que j'ai écrit, est-ce vrai ou faux ?" demande sévèrement le capitaine. "Oui, c'est vrai" avoue le matelot-chef. "Alors si c'est vrai ça doit être dans le journal. C'est la règle. Si c'est vrai ça doit aller dans le journal, fin de la discussion."
Quelque semaines plus tard c'est au tour du matelot-chef de tenir le journal de bord. Il écrit l'entrée suivante :
"Le navire a l'air en bonne forme. Le capitaine était sobre aujourd'hui."



Comme chaque jeudi après-midi, cette maman nettoyait la chambre de son fils de 14 ans. En déplaçant une commode, elle remarqua un magazine qui semblait être tombé d'une étagère. Elle jeta un coup d'oeil sur la revue et frémit, horrifiée : la couverture ne laissait aucun doute quant à l'orientation SM de son contenu. Finalement, elle conserva le magazine jusqu'à ce que son mari rentre, et lui montra. Celui-ci lui rendit sans dire un mot. Après quelques minutes, elle se risqua :
– Mon amour, à ton avis, que devrions-nous faire ?
Le mari l'observa une dizaine de secondes et détourna son regard vers le plafond.
– En tout cas, pas le frapper.



Un soir de pluie un nouveau client arrive dans un bar, et commande un café.
– Ca fera trois Euros, monsieur, dit le barman.
Le client boit tranquillement le café, puis sort trois pièces d'un Euro, en pose une au milieu du comptoir, puis va à l'extrême gauche du bar (qui est très long), pose une autre pièce, et enfin il va à l'extrême droite du comptoir et y pose la dernière pièce. Puis il s'en va.
Le barman est surpris, il doit longer tout le bar pour récupérer l'argent.
Le lendemain, le même client revient, et commande à nouveau un café. Au moment de payer il effectue le même numéro que la veille. Et plusieurs années durant le même manège se reproduit, chaque soir de la semaine.
Un soir, le barman a l'intuition que la journée va être différente. Effectivement, le client commande un café, et cette fois il sort un billet de cinq Euros qu'il tend au barman. Celui-ci voit des nuées d'arcs-en-ciel et entend résonner les trompettes des séraphins : depuis le temps qu'il attendait ce moment ! Avec une infinie satisfaction, il prend deux pièces d'un Euro dans sa caisse, qu'il dépose lentement à chacune des extrémités du comptoir. Le client boit son café, puis sort une pièce d'un Euro qu'il pose sur le bar.
– Un autre café, SVP.

(Merci à YS)

(màj : illustration)



C'est un homme qui va chez le médecin car il a de violents maux de tête.
Le toubib l'ausculte puis commence à lui poser quelques questions :
– Avez-vous remarqué si votre mal de tête apparaissait quand vous aviez trop bu ?
– Mais enfin docteur, je ne touche pas à l'alcool, pas même une goutte de vin les jours de fête.
– Bien, bien. Peut-être alors que vous fumez trop, il faudrait réduire votre consommation de tabac.
– Docteur, je vous assure que je n'ai jamais fumé de ma vie et d'ailleurs la fumée me rend malade.
– Vraiment ? Bon, il peut s'agir d'un excès d'activité sexuelle. Souffrez-vous davantage après l'amour ?
– Comment ? Mais depuis la mort de ma chère et douce épouse je n'ai plus touché une femme. Je ne les regarde même plus.
Le docteur dubitatif se gratte la tête, la barbe (car il a une barbe), et soudain un sourire illumine son visage austère.
– Ça y est cher ami, cette fois j'ai trouvé d'où venaient ces migraines : c'est votre auréole qui vous serre trop.



Ce type a fini sa journée à 17 heures, comme d'habitude, mais au lieu de rentrer directement à la maison il s'arrête au bar du coin pour un rafraîchissement. Il obtient sa bière, se retourne pour s'asseoir, et il se retrouve face à face avec une magnifique blonde, sulfureuse. Ils commencent à discuter et il se trouve qu'ils s'entendent particulièrement bien. Après quelques tournées supplémentaires ils quittent le bar et se dirigent vers l'appartement de la fille, afin de pouvoir admirer ses tableaux. Ce qui ne dure pas longtemps ; à 19 heures ils sont engagés dans des activités plus sportives.
Autour de minuit le type aperçoit par hasard l'horloge :
– Minuit ! Déjà ! Je dois rentrer ! Dis-moi mon coeur, tu n'aurais pas du talc pour bébé ?
Il sort précipitemment du lit tout en se rhabillant, et commence à chercher ses chaussures.
– Du talc pour bébé ? demande-t-elle. Mais elle va dans la salle de bain et revient avec le talc. Il s'en déverse abondamment sur les mains, l'embrasse, lui dit au revoir, et quitte l'appartement en courant.
Il arrive chez lui, et évidemment sa femme l'attend sur le pas de la porte.
– Alors là, gronde-t-elle, on va s'expliquer.
– Ecoute, dit-il apeuré, en regardant ses pieds. D'accord. J'ai été dans un bar après le boulot, et là j'ai rencontré une superbe blonde et ça a bien pris entre nous. On a bu quelques verres puis on est allé chez elle, et alors là...
– Ah oui ? dit-elle, fais-moi voir tes mains... Ne me mens pas ! Tu as encore été au bowling !



À Moscou, une clinique d'insémination artificielle où les femmes peuvent choisir le sexe et l'apparence de leurs futurs enfants vient d'ouvrir ses portes. Une femme y vient pour un traitement. Le docteur demande "Désirez-vous un garçon, ou une fille ?"
"Une fille"
Le docteur acquiesce et commence à mélanger divers liquides dans un flacon.
"Blonde ou brune ?"
"Blonde."
Le docteur ajoute encore des composants dans le flacon.
"Quelles mensurations ? Taille ? Hanches ?"
La femme répond, et le docteur introduit de nouveaux ingrédients dans le mélange.
"Finalement, voudriez-vous que votre fille ressemble plus ou moins à une de ces célébrités du cinéma ?" "Oui, oui, docteur. Un peu à Maryline Monroe, un peu à Liz Taylor..."
"Pas de problème," dit le docteur. "Maintenant buvez ceci."
La femme boit la concoction et s'endort instantanément sur le sofa. Le docteur commence à la déshabiller, tout en disant : "Elles veulent toutes Liz Taylor ou Marilyn Monroe. Hé bien, ça sera ce que ça sera."

(Merci à Mark Perakh)



Une fille rentre à la maison très tard, sa robe froissée, les cheveux ébouriffés, des traces d'herbe sur les cheveux et les vêtements.
"Que t'est-il arrivé, ma fille ?" interroge son père d'une voix anxieuse.
"Papa, je ne sais pas ce que c'était, mais dorénavant c'est mon hobby."

(Merci à Mark Perakh)



Un homme juif d'un certain âge se marrie avec une femme bien plus jeune. C'est le grand amour. Cependant, ils découvrent vite que sur le plan conjugal, la femme n'atteint jamais l'orgasme. Comme la femme juive a légitimement droit à ce plaisir, ils décident d'aller consulter leur rabbin.
Le rabbin écoute leur histoire, hoche la tête, caresse sa barbe, et fait la suggestion suivante. "Les vaches parviennent mieux à se reproduire quand il y a du vent. Alors engagez un jeune homme vigoureux, et pendant que vous faites l'amour, demandez au jeune homme de secouer une grande serviette devant vous. Cela devrait réveiller vos instincts et vous mener à l'orgasme."
Ils rentrent et suivent le conseil du rabbin. Ils engagent un beau jeune homme. Celui-ci secoue une grande serviette pendant qu'ils font leur affaire. Mais hélas la femme demeure toujours insatisfaite.
Perplexes, ils retournent voir le rabbin. "Je vois", dit celui-ci, "essayons dans l'autre sens. C'est le jeune homme qui fait l'amour à votre femme, et vous secouez la serviette face à eux."
Encore une fois, ils suivent le conseil du rabbin. Le jeune homme entre dans le lit avec la femme et le mari commence à agiter la serviette. Le jeune homme se met au travail avec enthousiasme et peu de temps après, la femme commence à gémir, de plus en plus fort, jusqu'à atteindre un orgasme monumental qui fait trembler tout le bâtiment.
Le mari sourit, regarde le jeune homme, et dit : "Eh oui mon ami, c'est comme ça qu'on secoue une serviette."



Un homme vient voir le docteur (il n'a pas peur) pour se plaindre de maux de tête. Il tremble beaucoup.
Le docteur lui demande : "Dites-moi, Monsieur, vous buvez beaucoup ?"
"Beaucoup ? Non, j'en renverse toujours au moins les trois quarts."



Le jeune Toto passe devant la chambre de ses parents et regarde par curiosité par le trou de la serrure. Il dit alors :
– Dire qu'on veut me faire voir un psy parce que je suce mon pouce !



Little Neo, 2005-2012


Kewl

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